Il s'agit d'intervenir comme ressource afin de les aider dans leur parcours pour sortir des violences.
Savoir penser aux violences permet d'éviter des diagnostics erronés et des prises en charge inadaptées. Ne pas traiter un symptôme sans traiter la cause (exemple : prescription d'un traitement psychotrope pour une plainte psychique liée aux violences).
Il n'existe pas de consensus sur l'étendue du rôle du médecin généraliste dans la prise en charge des violences conjugales. Le point important est probablement, comme dans les autres champs d'action de la médecine générale : connaître ses propres limites.