1 femme sur 10 serait victime de violences conjugales.

Les victimes attendent de leur médecin qu'il aborde le sujet.

L'orientation des victimes vers un réseau local est essentielle.

Être à l'écoute et accompagner la victime en fonction de ses attentes l'aideront à quitter son conjoint violent.

Comme pour la prise en charge d'autres pathologies chroniques, l'accompagnement dans le temps est primordial.

L'accompagnement des victimes de violences conjugales est long, l'entretien motivationnel peut être un bon outil.

Elles sont responsables de conséquences physiques et psychologiques à court et long terme.

Les violences conjugales touchent tous les âges et toutes les catégories sociales ou culturelles de la population.

Il faut être attentif aux documents que l'on remet aux patientes, l'auteur des violences ne doit pas les trouver.

Les enfants témoins de violences sont aussi des victimes.

Comme les victimes les auteurs sont dans nos salles d'attentes. Ils nécessitent une prise en charge.

Il faut prêter attention à ses propres limites.